En préfecture de Tottori, où la création et la diffusion à autrui d’images ou de vidéos obscènes d’enfants générées par l’IA, appelées « deepfakes sexuels », sont interdites, une proposition de révision de l’ordonnance incluant l’imposition d’une nouvelle amende administrative pour les contrevenants a été adoptée le 30 lors de l’assemblée préfectorale.